Il a une "gueule" qu'on ne peut ne pas croquer. Je redébute mes gammes en grandes gueules toujours à genoux devant le travail des Da Costa, Maëster et autre Coquelet. Une première approche pour une possible apparition dans un futur Lucky Luke. Bien à vous…
dimanche 30 octobre 2011
vendredi 28 octobre 2011
mercredi 12 octobre 2011
Albert au firmament…
Pour certains la BD est "une chouette bandes de copains", pour d'autres, c'est une grande famille. Pour ma part, c'est une échelle: d'abord les connaissances puis les copains, les amis et enfin tout en haut, la famille, la vraie.
Ce n'est un secret pour personne, j'éprouve pour Raoul Cauvin une vraie filiation. Il est mon papa de BD et me l'a prouvé tant de fois. Albert Weinberg en revanche est mon grand père, celui que j'aurais rêvé d'avoir dans la vie.
En 26 années, il fut à la fois l'ami et le Papy; celui que l'on respecte pour le talent, la légitimité, la simplicité, la générosité en dédicace et le regard toujours affectueux qu'il vous porte, tant pour votre travail que pour les rapports d'affection que nous partagions.
Ce sacré dessinateur portait le carton à dessin, le crayon bleu et la breitling comme personne !
Oui, déjà plus d'un quart de siècle de connivences, 26 merveilleuses années de retrouvailles heureuses en festivals, de Monaco à Laval en passant par Bellegarde ou Genève. Toujours à rire, à dire des bêtises, à nous moquer du monde, des intellectuels du "9ème art" aux pseudo-génies de la technique narrative, 26 années à monter des blagues, à fêter son invraisemblable longévité et ses anniversaires à répétition, à négocier pour lui ses changements de menus quel qu'en soit le restaurant, à tenter de le décoller de sa chaise pour qu'il cesse un peu de dédicacer, à lui piquer ses bouquins du soir, ses dédicaces à faire pour demain, bref, un festival avec Albert, c'était la joie assurée.
Nos 39 années de différence ne faisaient pas le poids devant ses 20 ans de potache.
Car durant nos soirées de libations, Albert Weinberg acceptait d'être Klaus Nomi, un Mogwaï puis de nous montrer ses aptitudes au lancer de pied et à la tenue de la tasse à café . Un grand père de rêve, vous dis-je…
Comme Dan Cooper, Albert a rejoint l'azur qu'il aimait tant dessiner. Affection pour ceux qu'il laisse malheureusement.
Ce qui me réjouis cependant dans ma tristesse, c'est qu'il va en faire rigoler plus d'un là-haut avec ses avions en papier !
Bon vol Papy…
Ce n'est un secret pour personne, j'éprouve pour Raoul Cauvin une vraie filiation. Il est mon papa de BD et me l'a prouvé tant de fois. Albert Weinberg en revanche est mon grand père, celui que j'aurais rêvé d'avoir dans la vie.
En 26 années, il fut à la fois l'ami et le Papy; celui que l'on respecte pour le talent, la légitimité, la simplicité, la générosité en dédicace et le regard toujours affectueux qu'il vous porte, tant pour votre travail que pour les rapports d'affection que nous partagions.
Ce sacré dessinateur portait le carton à dessin, le crayon bleu et la breitling comme personne !
Oui, déjà plus d'un quart de siècle de connivences, 26 merveilleuses années de retrouvailles heureuses en festivals, de Monaco à Laval en passant par Bellegarde ou Genève. Toujours à rire, à dire des bêtises, à nous moquer du monde, des intellectuels du "9ème art" aux pseudo-génies de la technique narrative, 26 années à monter des blagues, à fêter son invraisemblable longévité et ses anniversaires à répétition, à négocier pour lui ses changements de menus quel qu'en soit le restaurant, à tenter de le décoller de sa chaise pour qu'il cesse un peu de dédicacer, à lui piquer ses bouquins du soir, ses dédicaces à faire pour demain, bref, un festival avec Albert, c'était la joie assurée.
Nos 39 années de différence ne faisaient pas le poids devant ses 20 ans de potache.
Car durant nos soirées de libations, Albert Weinberg acceptait d'être Klaus Nomi, un Mogwaï puis de nous montrer ses aptitudes au lancer de pied et à la tenue de la tasse à café . Un grand père de rêve, vous dis-je…
Comme Dan Cooper, Albert a rejoint l'azur qu'il aimait tant dessiner. Affection pour ceux qu'il laisse malheureusement.
Ce qui me réjouis cependant dans ma tristesse, c'est qu'il va en faire rigoler plus d'un là-haut avec ses avions en papier !
Bon vol Papy…
Kid Lucky (2)
Après une (trop) longue absence me revoici aux affaires. Une année de travail et quelques croquis en plus, revoici Kid Lucky.
Pour ceux qui souhaitaient connaître un peu plus du passé de notre héros solitaire, j'ai pondu un nouvel extrait de sa genèse. Que les inquiets ne dramatisent nullement, le "petit Lucky Luke" n'est pas un mauvais pastiche du grand. Non, comme tous les amoureux de la série, je me suis demandé simplement d'où venait le poor lonesome cowboy et quelle enfance avait-il pu avoir.
Mes amis gunfighters Maëster et Jehanno m'ont offert quelques bons coups de mains dans ce duel avec l'humour. Qu'ils en soient ici remerciés.
J'espère qu'il plaira surtout aux enfants qui aborderont ainsi l'univers de Morris et bien évidemment, aux grands qui en ont gardaient l'âme…
Allez, et si nous nous posions la question: Dans l'ouest sauvage, les enfants jouaient-ils aux cowboys et aux indiens ?! Bien à vous.
Pour ceux qui souhaitaient connaître un peu plus du passé de notre héros solitaire, j'ai pondu un nouvel extrait de sa genèse. Que les inquiets ne dramatisent nullement, le "petit Lucky Luke" n'est pas un mauvais pastiche du grand. Non, comme tous les amoureux de la série, je me suis demandé simplement d'où venait le poor lonesome cowboy et quelle enfance avait-il pu avoir.
Mes amis gunfighters Maëster et Jehanno m'ont offert quelques bons coups de mains dans ce duel avec l'humour. Qu'ils en soient ici remerciés.
J'espère qu'il plaira surtout aux enfants qui aborderont ainsi l'univers de Morris et bien évidemment, aux grands qui en ont gardaient l'âme…
Allez, et si nous nous posions la question: Dans l'ouest sauvage, les enfants jouaient-ils aux cowboys et aux indiens ?! Bien à vous.
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