Qui a dit que les grands auteurs de BD n'ont rien à dire faute de ne savoir QUE dessiner ? Ne rigolez pas, plusieurs journalistes me l'ont sorti lors d'entrevues… Bref, deux biographies que je vous recommande, qui se rejoignent par l'époque, par l'enfance, par le drame mais aussi par le rire et la persévérance. Et si Gotlib a choisi l'humour pour se forger une vie, Druillet quant à lui s'est plongé dans son imagination démesurée pour y parvenir. Deux très belle histoires où l'importance des "papas" prouve qu'elle est à la base de notre devenir et j'en sais quelque chose…
Bon j'arrête là, je deviens trop sérieux, je vais prendre ma température, je dois couver quelque chose !
Bien à vous.
5 commentaires:
C'est vrai qu'un dessinateur semble de construire au fil du temps avec les épreuves et bonnes choses qui lui arrivent ...
Un peu comme beaucoup de metiers artistique ou insconsciemment une bonne partie de notre vie, nos habitudes se retrouve dans nos créations ...
Des journalistes ont reussi à dire ce genre de choses ? Pas mal ... Même s'il le pense c'est très provocateur de leur part, pour le cinéma, la littérature, la musique, la BD, je ne comprendrais toujours pas ce système de "promotion" qui oubli un peu l'essentiel du travail
Tiens oui, j'ai vu le bouquin de Gotlib et j'ai hésité à le prendre (pas de sous). Pourtant, ça doit être passionnant...
Maxime: Ne soyez pas étonné, j'en ai pris mon parti. J'appartiens à la famille des auteurs dit "populaires", ajouté à cela que je ne suis qu'un "repreneur", vous comprendrez que je ne suis donc pas grand chose pour les média parisiens et encore moins dans le giron des journalistes BD. Rester dans l'ombre, j'ai du m'y faire. D'ailleurs, vous en aurez une fois de plus l'exemple avec ce nouvel album. Tant pis pour moi, mais c'est comme ça.
Galien: Ce livre existe aussi dans une toute petite édition de poche. Recherchez le sur ebay, voir sur amazon.
Cher Achdé !
Je vous remercie très chaleureusement pour votre dédicace et pour notre première rencontre (Igny-Essonne, Dimanche 14 décembre 2014). Notre conversation sympathique et réaliste sur l'histoire contradictoire et controversée des Etats-Unis ainsi que votre dessin de Ma Dalton sur mon album des "Tontons flingueurs" ont égayé ma journée.
Du fond du coeur, merci. J'espère que cette opportunité se renouvellera.
Bien à vous, Karim Arbouz.
Ce fut un plaisir réciproque Karim. A l'année prochaine !
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